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Art Montpellier 2024 – des galeries qui proposent des expos de prestige

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Art Montpellier 2024 – des galeries qui proposent des expos de prestige

La 8è Foire Art Montpellier 2024 va réunir de nombreuses galeries qui permettent de proposer au visiteur un large panorama artistique de l’art brut à l’art urbain en passant par l’art africain, de nombreuses formes de l’abstraction, l’art moderne, sans oublier les courants artistiques de la région tel que Support-Surface et la Figuration Libre.
Parmi les galeries présentes, certaines organisent des solo-shows qui permettent d’entrer en profondeur dans le travail de l’artiste, notamment la galerie Bertheas qui propose un solo show de dessins du peintre André Derain.

Plusieurs galeries proposent quant à elles des soloshows sur des artistes entrant dans le thème retenu par la foire cette année : l’abstraction géométrique.
En complément de cette programmation, l’historien de l’art Christian Noorbergen consacrera une conférence intitulée Géométries, couleurs et abstractions, le jeudi 14 novembre, à 16h.

La galerie Dock Sud de Sète, qui présente les oeuvres de François Liguori, le Sétois plus connu sous le nom de Pescatore.
Pescatore, créateur et fabriquant d’oeuvres, objets, meubles contemporains, etc, pépite du Patrimoine sétois.
Depuis plus de trente ans, l’artiste exprime fantaisie et poésie, bercée par des flots imaginaires. Très attaché à la Méditerranée, l’artiste en a fait sa principale source d’inspiration. Les yeux rivés vers le large, il réinvente tout ce qui l’entoure.

– La galerie Rasson vient de Tournai en Belgique pour proposer un aperçu sur le travail du plasticien sculpteur Philippe Desloubières.

crédit: galerie Rasson

Présentation par l’artiste: « Mes sculptures jonglent entre un univers artificiel, semblant issues du monde de la bande dessinée à un rapport au monde plus existentiel. Elles touchent à l’identité, à l’espèce, au genre dans ce qu’ils ont de commun et de différent. La forme naît d’abord sur le papier en deux dimensions de façon spontanée et intuitive, le volume ne prend corps qu’au moment de la fabrication et de l’élaboration de la sculpture.
La ligne courbe reste une des constantes dans l’évolution des formes, elle devient une sorte de fil souple mais tendu qui affirme des pleins, des vides mais aussi des frontières ondulées rompant l’espace.Chaque sculpture est crée à la suite de l’autre, la réalisation de la première engage la forme de la suivante, comme des arrêts sur image dans l’ensemble d’un développement ».

– La galerie parisienne Ange Bassot propose un solo-show de l’artiste InVader, dont les oeuvres sont par ailleurs très présentes dans les rues de Montpellier. InVader est célèbre pour ses mosaïques inspirées du jeu vidéo rétro Space Invaders.
Utilisant de petits carreaux de céramique pour créer ses œuvres, Invader les installe clandestinement sur les murs de plus de cinquante grandes métropoles à travers le monde.
Ces installations, appelées « invasions », sont devenues emblématiques, tant pour leur aspect visuel que pour la démarche subversive qu’elles impliquent, brouillant les frontières entre art, espace public et propriété.
L’artiste, qui garde son anonymat et apparaît toujours masqué, intrigue par son approche unique et son univers singulier.

Montpellier occupe une place particulière dans l’œuvre d’Invader: elle a accueilli ses premières « invasions » en 1999, en collaboration avec l’artiste ZEVS. Depuis, 44 de ses mosaïques ont été installées à travers la ville, formant un vaste « Space Invader lorsque l’on les place sur une carte. Ces mosaïques sont devenues une chasse au trésor pour les amateurs d’art urbain, invitant les passants à redécouvrir l’architecture montpelliéraine sous un nouvel angle.

– La galerie Hebert arrive de Grenoble pour présenter le travail de Christophe Mottet.
Christophe Mottet est un plasticien dont le développement du langage s’articule principalement autour de deux axes de recherche : la bidimensionnalité et l’atemporalité. Ses pensées et ses réflexions plastiques ont été analysées dans une dizaine d’ouvrages. Mottet considère ses tableaux comme des autoportraits (mais peu seront titrés ainsi), c’est-à-dire comme une représentation plastique de son énergie primitive à un instant t ; cela se traduit par un assemblage de champs colorés selon un ordre prenant en compte leurs propriétés sensibles, physiques et métaphysiques.

HOMO DIGITALIS. 2024. 154 x 140 cm. Acrylique sur toile

Pour Art Montpellier 2024, Mottet expose les œuvres clés de ces quatre dernières années afin de permettre au public de mieux appréhender le processus de création et d’évolution de son langage plastique.
Les tableaux exposés sont regroupés autour de trois thèmes : les Autoportraits, le Cycle de la Vie et Homo digitalis.
« Je ne peux exclure que mon travail soit également l’expression d’un monde digital, mécanique ou l’orange est banni !« .

 

  • La galerie Renard-Hacker apporte de Lille des oeuvres de JonOne.
    Né en 1963 à New York, JonOne commence le graffiti à la fin des années 70 en écrivant son nom dans la ville et sur les rames de métro.
    En 1985, il commence à peindre sur toile en reproduire la vision d’une rame de métro graffée engendrant des traînées de couleurs avec la vitesse.
    L’artiste s’installe à Paris en 1987. Sa première exposition personnelle a lieu en 1990 à la Galerie Gleditsch 45 à Berlin, en Allemagne.  Depuis, l’artiste a multiplié les expos solos sur tous les continents.

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