IBARS Philippe

IBARS Philippe
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J’écris, je photographie depuis longtemps, très longtemps.
Mais toutes mes photos, tous mes négatifs, mes diapositives ont disparu le 3 octobre 1988, lors des inondations de Nîmes.
Ma deuxième vie de photographe est donc plus numérique qu’argentique.

Photos de rues, de paysages, portraits, etc.
Amoureux des Jardins de la Fontaine, j’ai publié un livre aux éditions Alcide : « Dans les jardins de la Fontaine ».
Amoureux des villes, de la rue, je viens de publier un livre de photos exclusivement sur le thème de Nîmes confinée : « C’est beau une ville », toujours chez Alcide.

Nombreuses expositions, promenades photographiques, cours de sémiologie de l’image.

L’écriture est aussi pour moi un moyen d’expression :

« Apprendre en apprenant ou les aigles de Bonaparte, chez l’Harmattan. Ce sont des souvenirs de mon métier de prof, des histoires qui parlent de ce que moi j’ai appris de mes élèves…
 » Les Pommes captives », chez l’Harmattan. C’est une pièce de théâtre où le langage devient aussi un personnage.
« Le dit de Mâle Branche, Conte des temps mêlés ». C’est un conte écrit en français d’une époque lointaine et en français de la banlieue… La langue est aussi en arrière plan le personnage de ce conte.

3 rue Meynier de Salinelles 30000 Nîmes
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