- Publicité -


Le sculpteur David Vanorbeek relance son projet de parc de sculptures dans l’Aude

En avril, les Audois pourront se prononcer sur différents projets dans le cadre du deuxième budget participatif du Conseil départemental.

Parmi les projets proposés, celui qui tient à coeur du sculpteur David Vanorbeek et qu’il avait déjà essayé de lancer en 2021, mais que le Covid n’avait pas permis de mener à terme: un projet de parc lui permettant d’exposer de manière permanente ses sculptures en terres audoises, “avec une exposition  permanente d’arts textiles et une proposition associative d’expositions artistiques”.

Au départ, une idée poussée par les circonstances: en 2020, le sculpteur David Vanorbeek habite à Azille dans le Minervois mais la maison qu’il loue va être vendue. Plutôt que de déménager une nouvelle fois ses œuvres sans garantie que ce soit de manière permanente, il souhaite en profiter pour créer un parc pour accueillir ses œuvres monumentales et recevoir du public.

Arrivés il y a 18 ans en France, David et sa compagne Nathalie Magnin, créatrice textile, ont déménagé à neuf reprises.

Il reprend donc aujourd’hui cette idée, en espérant avoir le soutien du Département. Il propose cette fois-ci de l’installer sur la commune de Villepinte.
L’artiste espère obtenir une enveloppe de 75 000€ qui lui permettrait d’acheter un terrain (même si le prix est supérieur) et un bâtiment, pour exposer les œuvres de petites et grandes tailles.

Nous travaillons sur cette idée depuis deux ans et sommes donc très motivés pour que ce nouveau lieu d’art puisse germer dans l’Aude. Par conséquent, nous sommes prêts à couvrir une partie significative des finances nous-mêmes. Donc pour le budget participatif nous demandons la totalité des 75000€“, précisent David Vanorbeek et sa femme Natalie Magnin.


Si vous êtes audois, le lien Pour soutenir le projet de parc de sculpture 



 

- Publicité -
Article précédentArchitecture: Montpellier relance les Folies et confie la prochaine à Odile Decq
Article suivantA Toulouse, Sylvie Corroler fait ses adieux dans la dernière lettre de la Fondation Espace Ecureuil