- Publicité -


A Prades-le-lez (34), Loul Combres fête les soixante ans de son atelier de céramiste

 

A Prades-le-lez, près de Montpellier, le céramiste Loul Combres fête les soixante ans de son atelier de céramiste. L’occasion de faire un retour sur un parcours riche en créations et performances.

«  60 ans ? Que faut il dire ? 32 réalisations de chantiers artistiques en sculptures, muraux et sols dans l’espace public, 17 performances de ‘FIRE ART’  avec des œuvres de 4 à 12 mètres, 11 expositions à l’international: 32+17+11 cela fait bien 60 !!!

A cette occasion, il ouvre, avec sa fille Eve, leur atelier le 10 octobre “pour découvrir leurs nouvelles créations”.

Le comédien Phil Goupillion fera deux visites guidées et décalées à 11h30 et 14h30 (réservation souhaitée au 06-07-33-77-08).

Atelier ouvert de 10h à 19 h au 139 avenue des Baronnes à Prades le Lez (34)

 

  • Parmi les moments les plus importants de la carrière de l’artiste, les “fire art”, ou réalisation d’œuvres en terre cuite, avec la cuisson à laquelle participe le public, et qui est généralement intégrée à un spectacle mettant en valeur cette partie impressionnante de la réalisation de l’œuvre
    L’artiste a ainsi réalisé (parmi d’autres) une cuisson d’une grande sphère pour l’autoroute des Vosges, à Essley, une sculpture de 7,40 mètres, Le Livre et la bête à Saint Chély d’Apcher en Lozère , un Poisson de 6 mètres de haut pour la Triennale de la Porcelaine à Nyon en Suisse, ou les Bisous de Loul (6 mètres de haut) pour sa ville de Prades-le-lez.

Il a également réalisé de nombreuses sculptures et muraux intégrés aux bâtiments, notamment aux Archives départementales de Mende, pour des hôpitaux (Uzès, Saint Chély d’Apcher, Mende), des mairies (Balsièges, Le Collet de Dèze), pour le Parc National des Cévennes ou pour des établissements scolaires (Langogne, Mende, Meyrueis, Narbonne, Port la Nouvelle, Saint Chély).

      

- Publicité -
Article précédentA Toulouse, l’Isdat se dote d’une nouvelle identité et d’un nouveau site
Article suivantA Toulouse, La fabrique du signe publie Zone sensible de Théo Renaut