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A Toulouse, Mademoiselle Kat réalise une grande peinture murale

 

L’une des signatures historiques du post-graffiti à Toulouse, Mademoiselle Kat, a réalisé une grande peinture murale en toute liberté, l’artiste précisant qu'”aucune demande de projet n’a été demandée en amont” .

Intitulée Jungle Fever, cette fresque parle “d’un film qui n’existe pas mais qui parle de climat, de respect entre les communautés en référence au film de Spike Lee qui s’intitule aussi Jungle Fever ( je vous le conseille!)…un film qui n’oublie pas les références historiques aussi : une dédicace au BAD crew, un collectif de graffeurs américains qui ont débuté dans les 70’s dont je fais partie depuis début 2000…une dédicace à une des premières réalisatrices, Alice Guy, que la cinémathéque de Toulouse mettait en avant au moment de la création de ma peinture murale ; un lien à une toute petite salle de cinéma toulousaine qui n’existe plus et qui s’appelait le Club”.

A voir 5, rue Saint-Ursule.

  • L’artiste avait également réalisé une nouvelle Baby-doll, signature de l’artiste, proche de la place de la Daurade, pour souhaiter la bonne année, mais l’oeuvre n’a eu qu’une existence éphémère. “Ma baby-doll skateuse parle de la jeunesse présente dans notre Ville rose.. Mais c’est surtout une peinture murale faite comme un clin d’œil coloré aux passants… un peu de douceur pour débuter l’année 2021 : frissons et talons aiguilles sur une planche de skate ! Avec une pensée particulière pour tous les lieux d’art fermés actuellement ”.
©mademoisellekat
©mademoisellekat
©mademoisellekat


 

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