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Le sculpteur Albert Marchais de retour à la Grande-Motte (34)

 

(crédit photo: La Grande-Motte; Albert Marchais)

Le sculpteur Albert Marchais est attendu à la Grande-Motte ce printemps pour organiser les travaux de rénovation de ses oeuvres disséminées dans la ville-station balnéaire de la côte héraultaise.

Né en 1935, Albert Marchais est, avec Michèle Goalard et Joséphine Chevry, le principal contributeur à la notion de « sculpture intégrée » à l’architecture de la cité de Jean Balladur.

En 1965, à l’invitation de l’architecte Jean Balladur, il réalise ses premières peintures dans l’architecture, et commence la même année la sculpture. Son aventure à la Grande-Motte traversera trois décennies (les années 60, 70 et 80):  il réalise des peintures et des sculptures en briques, béton, bronze dans une fonction que Michèle Goalard intitulera « sculptures à valeur d’usage » signifiant qu’elles doivent être aussi esthétiques qu’utiles.

Dans la station héraultaise, Albert Marchais réalise La dame de la Motte, des fontaines et jeux d’enfants, des figures de proues, en béton ouvragé devant la Grande Pyramide et l’Eden, qui aujourd’hui font l’objet d’une opération de réhabilitation initiée par le fonds de dotation pour l’art urbain Béton d’Or.

 

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