- Publicité -

En Haute-Garonne, un projet en cours ouvert à tous: “Re-photographions la Haute-Garonne”

 

Ce projet participatif, lancé par les Archives départementales entre 2017 et 2020, invite les Haut-Garonnais à réaliser, à partir d’une sélection de photographies du fonds des cartes postales Labouche, la même photographie du même lieu cent ans plus tard en respectant le cadrage initial des frères Labouche.

Après une première exposition réunissant 40 clichés, présentée à l’Hôtel du Département du 12 au 28 septembre dernier, le projet “Re-photographions la Haute-Garonne” s’installe à Nailloux, pour une exposition consacrée à la partie Est du département. Elle est composée de 7 panneaux, regroupant 24 communes sélectionnées sur le territoire : Aureville, Auriac-sur-Vendinelle, Auterive, Avignonet-Lauragais, Caignac, Calmont, Castanet,Cintegabelle, Donneville, Escalquens, Issus, Labarthe-sur-Lèze, Montgiscard, Nailloux, Portet-sur-Garonne, Ramonville-Saint-Agne, Revel, Roques-sur-Garonne, Saint-Julia, Saint-Orens, Toulouse passerelle Saint-Sauveur, Toulouse Pouvourville, Venerque, Villefranche-de-Lauragais.

83 photographes ont répondu à cette opération qui se poursuivra sur les territoires Nord, Sud et Ouest de la Haute-Garonne.

Le fonds Labouche a été acquis en 1993 par le Conseil départemental et est conservé aux Archives départementales, dépositaires de la mémoire individuelle et collective de la Haute-Garonne. Il offre une collection de 53 000 documents photographiques qui constituent un formidable témoignage de la vie en Haute-Garonne au début du 20e siècle.

Informations pratiques :

Médiathèque de Nailloux (Espaces Hall & salle de conférence)

Escal, 2 rue Erik Satie, Nailloux – 05 34 66 10 46

Exposition ouverte au public jusqu’au 26 janvier 2019,  le mardi de 12h30 à 18h, les mercredi et vendredi de 9h à 12h30 et 15h à 19h, le samedi de 9h à 12h30 et de 14h à 17 – Fermé les jours fériés et du 24 au 31 décembre inclus.

 Pour participer au projet « Re-photographions la Haute-Garonne », cliquer ici.

- Publicité -
Article précédentUn mail-art de Françoise Amadieu
Article suivantA Toulouse, une nouvelle acquisition pour la Fondation Bemberg